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Sweden Calling

Oui je sais, ça fait un bout de temps que je n’ai pas écrit. J’ai été un peu débordée par les événements dernièrement.

Pour ceux qui ne le savent pas, j’ai décidé de m’exiler 6 mois au chaud, sous le soleil. En Suède.

Je suis quand même bien contente d’être en Suède hein, ne me faites pas dire le contraire. J’ai quand même choisi ce pays si accueillant et chaleureux.

Je suis un peu mauvaise langue là, la Suède c’est quand même cool. Et les gens sont sympa. Enfin bref, j’ai choisi la Suède.

P1070727(ça là, en haut, c’est mon campus, Linnaeus University…)

Je suis donc en train de vivre les 6 meilleurs mois de ma vie. Apparemment. Je pense que ça va être difficile à concurrencer l’année passée en Angleterre mais bon, je vous dirai en rentrant.

Vous comprendrez donc que j’ai été un peu overbookée pour pouvoir vous écrire. C’est pas vrai, j’ai juste pas pris le temps avant. Mais maintenant du coup il faut que je vous parle de la Suède, de ce que je fais ici, et comme ça fait déjà un moment que je suis là (mon dieu, déjà plus d’un mois) ça m’ennuie un peu de répéter tout le temps la même chose.

En gros, je suis en Erasmus en Suède. Je suis arrivée le 17 janvier, après un périple bien crevant de plus de 17h. Non, je n’habite pas à l’autre bout de la planète, mais j’ai comme qui dirait un peu peur des avions et du coup mon Géniteur a décidé (comme ça, sans même me demander mon avis) que je ferai le voyage en train. Depuis Bordeaux. Oui oui. En train. Avec la SNCF en plus. Autant dire, un cauchemar.

Mais après de nombreuses escales (Paris, Cologne et Copenhague entre autres) je suis enfin arrivée à destination. À V. cette ville au nom aussi imprononçable qu’impossible à écrire… Bien arrivée à destination, sous la neige et dans le froid et la grisaille suédoise. Avec -15°. J’ai perdu plus de 20° en l’espace de quelques jours (ouais quand je suis partie de Bordeaux il faisait beaucoup plus de 5°) mais bon, j’étais en Suédie donc j’avais pas franchement le droit de me plaindre. Surtout que Soeurette  m’aurait tué si je lui avait dit que j’aimais pas parce qu’il faisait trop froid.

Mais maintenant je suis habituée. Je suis habituée à tous les petits détails qui me faisaient peur avant de partir. Bon, quand je dis que je suis habituée, pas vraiment hein. Je tremble encore que je vois qu’il fait des températures en dessous de zéro et que je dois sortir. Je me suis pas encore complètement habituée au fait que la nuit tombe ultra vite ici. Pas forcément très tôt (bon, 16h30 quand je suis arrivée) mais en 5 minutes il fait nuit noire. Je ne me suis pas non plus habituée au fait que les gens fassent la queue pour monter dans le bus. Et aussi que les hommes NE SONT PAS GALANTS en Suède.

Enfin bref, vous voyez, je trouve le moyen de me plaindre, c’est qu’au final tout va bien pour moi là haut !

P1070848(et ça, avec l’eau gelée là, c’est Göteborg)

Pérou #2

Je sais pas si vous vous souvenez, mais cet été je suis partie faire un peu de tourisme à l’autre bout du monde. (c’est par si vous vous en souvenez pas). J’étais donc en train de vous raconter le road trip que j’ai fait avec mes coupains.

Je m’étais donc arrêté à Ica, après la visite de l’usine de pisco et la glande au bord de la piscine en attendant d’aller prendre le bus.

Pendant qu’on attendait le bus donc, dans le termibus (je sais pas trop trop si c’est comme ça qu’on dit, mais j’aime bien ce mot) il nous est arrivé un truc assez drôle. Je suis sure que mon amie D. vous dira le contraire (je me suis fait engueuler parce que j’ai eu le malheur de trouver ça drôle) mais maintenant que tout va bien, je pense qu’on peut dire que c’était drôle. Bref. Nous attendions le bus donc et nous avons un mini tremblement de terre. Enfin, pas si mini que ça, si on en croit les journaux du lendemain (quand même 6.2). Toujours est-il que le sentiment que l’on ressent, quand on se rend compte qu’on vient de vivre un tremblement de terre c’est quand même assez indescriptible. Après, parce que pendant tu réalises pas trop. Après parce que tu sens juste la Terre trembler, tu as l’impression que le sol va s’ouvrir sous tes pieds et pendant les 15 secondes qui suivent (qui sont sans doute les plus longues de toute ta vie) tu sais plus ni où t’es ni ce que tu dois faire. Après, quand tu vois tout le monde courir dehors en hurlant, tu te dis que peut être du devrais faire pareil. So we did.

Bref. Après l’épisode tremblement de terre, nous avons donc pris notre bus, comme prévu mais avec 30 minutes de retard. La seule peur c’était que peut être il y allait avoir un plus gros tremblement de terre, et dans le bus, on était franchement moins en sécurité.

Toujours est il que le bus est arrivé à destination avec tous ses passagers. Enfin les 12 français, les autres j’en sais trop rien et à vrai dire je m’en fiche un peu. La destination du bus : Arequipa. Une ville magnifique (enfin, magnifique après être passés par Ica, bien sur), perdue dans les montagnes péruviennes. 3 volcans entourent la ville (forcément là je me souviens plus des noms, mais de mémoire un s’appelait Mitsi, et un autre avait un nom qui ressemblait à Machu Picchu (mais qui n’était pas ça, obviously). Une des particularité de la ville de Arequipa, c’est que c’est quand même vachement européen. On se rendra compte par la suite que plusieurs villes le sont en fait mais comme on venait de passer 4 semaines au fin fond du pays on savait pas trop !)

La ville est juste magnifique. On a visité le plus grand couvent du monde, en plein centre ville, le couvent de Santa Catalina si mes souvenirs sont bons.

Les couleurs étaient juste magnifiques, ça rendait encore mieux avec le bleu du ciel.

Nous avons également visité une maison, je serai incapable de retrouver le nom de la maison, mais on pouvait monter sur le toit. Chouette idée n’est ce pas ? Je vous passe bien entendu le moment où il a fallu me monter sur le toit, mais franchement, après toutes les peurs, les crises d’angoisse, ça valait franchement le coup. On avait une vue sur toute la ville, avec en fond les volcans qui entourent la ville. Je crois que j’ai rien vu d’aussi beau. Bon, en fait j’ai dit cette phrase dès qu’on arrivait à un nouvel endroit. Mais vraiment. C’était beau.

Ce qui était encore plus beau, c’était la ville, de nuit. L’auberge qu’on avait prise en plein centre ville, elle aussi avec une vue sur les volcans. Et elle avait une terrasse. Et comme ce soir là, on a tous appris qu’on avait eu notre année, on a fait la fête sur la terrasse de l’auberge, à coup de bières dégueulasses et de chips périmées. Mais voir le coucher du soleil, sur les volcans de la Cordillère des Andes, avec des amis à l’autre bout du monde, ça n’a pas de prix.

Je serai incapable de dire comment s’est déroulée le reste de la soirée, la vière dégueulasse monte très vite à la tête, surtout à 2800m mais je me souvient qu’on a bien bien rigolé. Bon on a clairement moins rigolé le lendemain matin, quand à 6h du mat’ on devait prendre un bus pour aller à Puno, mais au final on a profité un maximum de tous les moments.

(La prochaine fois je vous parlerai de notre périple au lac Titicaca, qui n’étais pas non plus des moins drôle ;))

20 years from now…

Je suis désolée les amis, mais en ce moment c’est un peu la course dans ma vie donc j’ai pas trop trop le temps d’écrire des nouveaux billets. Pourtant j’aimerai hein. Ca serait tellement plus cool de raconter tout ce qui se passe dans ma vie plutôt que de faire tout ce qui se passe dans ma vie. Mais bon, comme je suis une fille pleine de bonnes intentions et gentille comme tout, je vous donne un peu de lecture.

Ce weekend, j’ai revu ma copine d’enfance. A. de son prénom (j’ai beaucoup beaucoup d’amis qui ont des prénoms qui commencent par la lettre A donc c’est un peu galère à s’y retrouver (surtout que généralement, c’est tout le prénom qui est pareil ;)). Donc cette amie A. passait le weekend à Paris, et comme elle n’avait pas d’endroit où passer la nuit samedi soir, je lui ai proposé de venir chez moi tout naturellement. Après tout, c’est ma copine d’enfance. Je vous avouerai quand même que j’étais un peu stressée au début, de la revoir et tout parce qu’on s’était pas vue depuis presque 5 ans (sauf la fois à Lille où on s’est croisée 30 minutes à tout casser) et qu’en 5 ans, bah t’as clairement le temps de plus t’entendre avec tes copines d’enfance. Mais en fait non, elle était comme quand on était petites. La même. Avec 20 ans de plus.

On s’est retrouvées pour aller prendre un (ou même plusieurs) mojitos. (La base). Dans un endroit où les mojitos sont (assez) bons et pas trop trop cher. De mémoire je crois que c’est le Cardinal, à Opéra. Et c’est quand tu parles avec une amie d’enfance, que tu prends vraiment des coups de vieux. Je m’explique. Cette amie, A. donc, c’est ma plus vieille amie. On se connaît depuis qu’on a 3 ans. C’est à dire depuis 1992. C’est à dire depuis 20 ans ! Là, première ride en te disant que ya 20 ans tu étais déjà en mesure d’avoir des amies (je soupçonne quand même fortement ma mère d’avoir choisi mes amis à l’époque, mais bon, la n’est pas la question).

Ensuite, comme ça fait quand même 5 ans qu’on s’était pas vues, on a décidé (tout bêtement) de parler du passé et du temps où « tu te souviens, quand on faisait ci, chez moi ? » ou « tu te souviens quand j’étais allée chez toi, à Chartres ? Ouais putain c’était quand ça ? Bah…ya 10 ans il me semble bien ». Et la bim, deuxième ride. Quand tu parles d’un truc qui s’est passé ya 10 ans ET QUE TU T’EN SOUVIENS COMME SI C’ÉTAIT HIER !! 

Mais bon, après on a commencé à faire la liste de toutes les choses qu’on avait faites il y a 10 ans et on a décidé que c’était bien trop triste, qu’on en reparlerait quand on aurait 40 ans et que pour faire passer le tout, on allait boire un quatrième mojitos. Celui de l’amitié.

(Cela dit, je suis quand même super contente d’avoir une amie qui m’a vue grandir, depuis que j’ai 3 ans et qui reste toujours la même. Et encore plus contente de me dire que pendant les dernières 30 années de ma vie, même si on était à des milliers de kilomètres on a su garder contact (c’est beau hein ?!))

 

Principe de vie #1

Vous le savez peut être pas, mais j’ai beaucoup de principes dans la vie. L’un d’entre eux, et sans doute le plus important, c’est qu’une soirée sans mojitos, n’est pas une vraie soirée. Et ce principe en entraînant un autre, je ne vais pas dans un bar sans goûter leur mojito. Je suis un peu en quête du meilleur mojito de Paris en fait.

Bref. Mercredi soir, c’était la dernière soirée de ma copine A. du boulot. Enfin, pas vraiment dernière, mais la n’est pas la question. Nous avons donc fait un petite escapade, entre stagiaires (pas vraiment en fait), dans le 13e pour nous trouver un bar où fêter le départ donc, de ma copine A. pour pouvoir goûter un nouveau mojito.

Après une longue marche, nous avons atterris au Merle Moqueur, à la Butte aux Cailles. A littéralement 5 minutes à pieds du boulot, on a mis presque 15 minutes pour trouver le bar. Mes amis me connaissent bien apparemment, j’ai même pas eu besoin de demander, on m’a directement apporté un mojito, PRESQUE sur un plateau d’argent. Presque sur un plateau d’argent parce que c’était Halloween ce soir là donc les plateaux d’argent n’étaient pas de sortie.

Nous avons donc bu beaucoup de mojitos. En alternance avec des rhums arrangés mais comme j’ai pas encore de principe de vie sur les rhums arrangés je ne m’attarderai pas dessus. Le mojito était bon, mais pas assez relevé à mon goût. (Inutile de préciser qu’après quelques mojitos ils deviennent de plus en plus bons…). Pour ma part, j’en ai eu vite marre du mojito donc je suis passée au rhum arrangé, qui était ma foi franchement mieux !

La soirée s’est terminée dans un restaurant chinois (original pour le 13e) à manger des soupes et des nems pour éponger le rhum avalé !

(Mais le côté triste de l’histoire, c’est que ma copine A. n’est plus là avec moi au boulot et que N. et R. sont beaucoup moins drôle quand ils travaillent et qu’ils ont pas de rhum dans les veines…)

Tourisme à Paris !

En ce moment, j’héberge une amie chez moi, dans mon manoir de 18 mètres carrés. On a beaucoup d’espace, on rigole bien et on est pas du tout serrées. (Je l’aime d’amour ma copine). Ce qu’il y a de drôle aussi, c’est que les weekends ya ma soeur qui vient nous rendre visite. (C’est en fait un peu une longue histoire mais j’ai viré ma soeur de chez elle, pour que je puisse avoir son appart, et pendant ce temps, elle vit chez une copine à elle). Bref. Les weekends, on vit à 3 dans 18 mètres carrés. C’est assez folklorique dira t-on.

Donc. Ce weekend, on a décidé avec ma copine A.L. qu’on irait faire du tourisme dans Paris. Enfin, elle a décidé, parce que franchement moi la Tour Eiffel, non seulement je la trouve pas belle mais en plus je la vois suffisamment pour pouvoir m’en passer. Bref. Pour lui faire plaisir, j’ai cédé. (Je suis très gentille comme fille !)

GROS FAIL.

A peines sorties du bus, il s’est mis à pleuvoir des cordes. Inutile de préciser qu’il y avait un vent de malade et qu’il n’avait jamais fait aussi froid depuis…je sais pas depuis quand mais depuis cette date !

Bref, après de longues minutes passées sous la pluie et sous le vent, à essayer de prendre des photos (moches) de la Tour Eiffel, j’ai enfin réussi à la faire capituler aussi. Nous ne sommes donc pas allées sous la Tour Eiffet, là ou y’a tous les pigeons (ohoh) et les japonais. Nous avons repris calmement le bus, traversé tout Paris pour rentrer dans un appartement en bordel, à manger des cookies au chocolat blanc et aux cranberries avec du café froid.

 

Heureusement que le soir, on avait un anniversaire, on a mangé beaucoup de fromage et bu beaucoup de vin. C’était chouette. Et même que dimanche, on est allées à Montmartre, parce qu’il faisait un temps magnifique et qu’il faisait pas froid. Deuxième fail, il faisait nuit noire quand on est arrivées en haut, il faisait, encore une fois, un froid de GUEUX !

PEROU #1

J’aimerai bien vous parler un petit peu de mon dernier voyage. Un billet ne suffira pas, mais comme ça, vous aurez un petit aperçu de temps en temps de ce que j’ai vu et fait.

Pour faire bref, je suis partie 6 semaines au Pérou, en juin et juillet dernier. J’ai fait une mission humanitaire de 4 semaines dans un foyer pour enfants défavorisés dans la région de Ayacucho, une petite ville perdue dans la Cordillère péruvienne. Mais ces quatre semaines méritent un billet à elles seules, qui ne devrait pas tarder.

Ensuite j’ai fait 2 semaines de tourisme, avec 11 copains de l’école. 2 semaines pendant lesquelles on a vécu tout ce qui vivable. Que ce soient les sensations, les émotions, les coups de gueules, les frayeurs…

La première étape dans notre voyage à été Ica. Une petite ville sans grand intérêt en soi, et sans aucune beauté particulière. Les rues sont sales et bruyantes, les gens klaxonnent tout le temps en voiture, genre « coucou regarde, je passe avec ma voiture pourrie » et la pauvreté de la ville se fait sentir à chaque coin de rue.

Oui mais.

À 4km à peine de cette petite ville sans grand intérêt se trouve la Laguna de Huacachina. Et rien que ça, ça vaut de rester 2 jours dans cette ville sans grand intérêt. (bon, aussi l’hôtel qu’on avait choisi, parce que franchement il envoyait du lourd !!). La Laguna de Huacachina, c’est une oasis perdue dans les dunes du désert péruvien. C’est un petit bijou en gros. Mais ce n’est pas tout. C’est aussi l’endroit où on peut faire du sandboarding. Un truc de malade. On est partis dans des espèces de gros Jeep dans les dunes, avec un chauffeur un peu malade (péruvien quoi) à fond. Le principe de ses balades dans les dunes c’est surtout de s’arrêter en haut des dunes et de les descendre en sandboarding. C’était un truc de malade. Des sensations dingues. On a ensuite pu admirer un magnifique coucher de soleil sur les dunes avant de rentrer « tranquillement » à la lagune.

Laissez moi vous parler maintenant de l’hôtel qu’on avait réservé. Un petit bijou, tout simplement. Avec des vrais lits, des douches et surtout…de l’eau chaude. Après 4 semaines dans un foyer pour enfants défavorisés dans le fin fond du Pérou, c’était genre LE critère principal. Bon, ça fait plus d’un critère mais vous avez compris le principe. Avec aussi, of course, une piscine, un sauna et un jacuzzi. Inutile de vous dire où on a passé la matinée le lendemain 🙂

(Le petit déjeuner était magique aussi, mais ça c’est une autre histoire !)

Le lendemain donc, après avoir passé toute la matinée au bord de la piscine à critiquer les gens qui passaient (on reste des filles quand même, même à l’autre bout du monde) nous sommes allées visiter une usine de Pisco. Le pisco, donc, est la boisson nationale (enfin alcool national, parce que la boisson nationale c’est plutôt l’Inca Cola, cette boisson gazeuse dégueulasse qui a goût de chewing-gum). L’usine se trouve, elle aussi, au milieu du désert (en même temps, par la bas, ya pas grand chose d’autre…) et est la plus ancienne usine de pisco du pays. Je serai pas surprise si j’apprenais que c’est la seule (avec eux, on sait jamais). Tout est resté dans les traditions et dans les coutumes de fabrication de l’époque…de ya très longtemps quoi.

Bon inutile de vous dire qu’après la visite on a fait une petite dégustation de pisco. (Note to myself : le pisco pur c’est franchement dégueulasse, mais bon, le Pisco Sour c’est bon alors ça rattrape !)

 

Demain, je vous parlerai du tremblement de terre qu’on a eu en attendant le bus…

Premiers pas dans la blogosphère…

L’autre jour (il y a 2 mois à peu près (je dis souvent « l’autre jour pour parler d’un événement qui est tout sauf récent (bref))) je discutais avec ma copine de bureau, et on se disait que ça serait super chouette de faire un blog. Aussi parce que dans notre boulot on parle souvent de blog et que en fait c’est plutôt sympa le principe ! On a donc décidé (enfin j’ai décidé) de faire un blog.

On a longtemps discuté sur le nom que j’allais donner au blog. Oui parce que même si c’est mon blog, son avis compte pour moi, parce que c’est quand même un peu grâce à elle que j’ai sauté le pas ! Parce que le nom d’un blog c’est quand même vachement important ! On peut pas choisir le nom du blog comme ça, sans aucune signification. Après plusieurs épisodes de ma vie, que je ne peux conter ici, j’ai enfin choisi le nom de mon blog. Ca sera donc pigeonvoyageur !

Inutile donc de vous préciser que j’adore voyager, et que je compte bien vous faire partager mes voyages ! Pigeon, c’est venu assez naturellement, on va dire…

Je vous laisse donc découvrir mon univers, faits de voyages, de copines et de galères.